Buteur's stuff: patrie des Screenshots.

Alors à demain pour de nouvelles aventures du râleur Buteur! J'éditerai ce message lorsque j'écrirai ces points négatifs auxquels j'aurai pensé, car demain je n'ai cours qu'au matin (et une petite heure à midi) et c'est plus facile ainsi.
Eh bien, on est demain, alors j'édite: tout d'abord, nous savons qu'il y a, durant la période dite d'apprentissage (école et université, 20 ans au minimum), deux types de stress: le franc et massif, celui des sessions d'examens, et celui qui traîne en longueur, le sournois, celui des travaux à rendre. L'université combine admirablement les deux et élargit même considérablement celui des sessions, ce qui fait que jamais, pendant l'année, on ne peut vraiment dormir sur ses deux oreilles.
Quels sont les fondements du travail académique? Un chipotage invraisemblable et une hypocrisie démentielle, pour un résultat dérisoire à en faire crever de rire un acarien anorexique. Comme le dit le proverbe: "steal from one source, it's plagiarism; steal from two, it's creative genius". De très intelligents académiques se branlent le cortex et chient des pavés en tournant autour du pot pendant des centaines de pages, dans un langage indéchiffrable et une forme de laquelle il est interdit de dévier ne serait-ce que d'un alinéa, pour un résultat qui n'intéressera que deux ou trois collègues obsédés et n'apportera qu'un infime grain de sable en guise de contribution au désert de l'académisme fiévreux: des études se contredisant encore et encore sur des points d'un intérêt proche du zéro absolu, un néant intellectuel où vont se perdre les capacités et les jugeotes d'esprits qui auraient pu être grands s'ils ne s'étaient pas laissé embrigader par cette secte de la médiocrité reconnue.
D'la merde.

j'adore

Merci.